En plus des déchets officiels répertoriés par l’Agence nationale de gestion des déchets radioactifs (ANDRA), la carte comprend plusieurs lieux de passage (routes, gares…) ou d’entreposage de combustibles usés et de substances issues du retraitement (tel que le plutonium). Ces matières, non classées parmi les déchets, n’en sont pas moins dangereuses. Selon Greenpeace, « elles circulent et s’accumulent aux quatre coins de France ».
La carte ne mentionne pas en revanche les déchets radioactifs issus de la médecine, de la recherche fondamentale (hors secteur électro-nucléaire et/ou militaire) et d’autres activités civiles et militaires.