Il faut un oeil averti pour identifier de quoi sont plantés les champs de Jacques Morineau, de part et d’autre des chemins de son exploitation vendéenne où bringuebale son vieux 4×4 tout infiltré de poussière de terre. Vingt-neuf variétés y poussent, sur une mosaïque de parcelles où il a mêlé ici du pois et de l’orge, là du blé et de la féverole, ailleurs un carré de maïs entouré de colza, de l’avoine, du sorgho, des prairies et des bosquets, un champ de peupliers… Sans compter les ruches, les vaches et les poulets.(suite de l’article)